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#Posté le lundi 21 décembre 2009 12:54

Modifié le mardi 23 janvier 2018 02:02



-- Je ne suis pas une héroïne --




Quand j'étais gamine, j'avais l'habitude de lire des bouquins. Des contes de fées, pour la plupart du temps. Et il était facile de savoir différencier le mal du bien. La princesse était prisonnière dans un sombre château et quelqu'un allait la libérer, quelqu'un avec qui elle allait partager sa vie, le reste de son existence. Les livres nous bercent d'illusions, mais ces illusions sont toujours les mêmes, et on y croit tellement qu'on finit par croire qu'elles sont réelles. Mais la réalité est bien plus complexe.

_____________________________________________________

Notre monde était fondé sur des règles illogiques. Je n'avais jamais compris pourquoi les gens ne se battaient pas contre la société dans laquelle nous vivions. De notre naissance à notre majorité, à vingt-et-un ans, nous vivions une vie normale, loin des complexités de la vie réelle, mais lors de notre passage à l'âge adulte, notre vie se retrouvait bouleversée. Saccagée, même. Nous avions un rituel – enfin, les dirigeants de notre société – depuis des siècles: à notre vingt-et-unième anniversaire, nous apprenions l'âge et la cause de notre mort. Génial, n'est-ce pas ? C'était une des règles fondatrices de notre ville, Leys. Les gens disent que c'est parce qu'ils ont peur de mourir du jour au lendemain, et qu'au moins, nous étions prêts. Mais comment pouvions-nous être prêt à mourir ? Comment pouvions-nous ne pas être effrayés à l'idée de savoir ce qui nous tuera dans dix, quinze, vingt ans ? La majorité des gens croient en toutes ces choses surnaturelles, comme quoi ce sont les Dieux qui prédient l'avenir et qui leur donne des réponses – et en l'occurence dans ce cas, la nature de leur mort. J'ai bien l'impression d'être la seule de ne pas croire à tout ce barratin. Enfin, je croyais.
Tout a changé le jour de ma cérémonie. Bien entendu, sinon, je ne serais pas l'héroïne de cette histoire. Si ma vie n'était pas différente de celle des autres, je ne serais pas là à vous conter mon histoire. J'ai appris la façon dont j'allais mourir: tuée sur un champ un bataille à l'âge de vingt-deux ans. Je n'y croyais absolument pas. Déjà, je n'avais rien d'un soldat, la seule chose que je voulais faire de ma vie, c'était voyager, aller au-delà du dome géant qui retient tous dans la ville. Alors pourquoi allais-je mourir au combat ? Ca n'avait aucun sens. En rentrant à la maison, mes parents m'ont posé des questions. J'ignore comment on leur a dit qu'ils allaient mourir. Mon frère, quant à lui... Il croyait beaucoup en ces choses, et ça l'avait beaucoup affecté. Ca datait de quelques années maintenant, mais je me souvenais de son visage quand il était rentré comme si c'était hier: les yeux rouges, le regard vide, l'air abattu. Jay allait mourir à 29 ans, dans une explosion. Il en avait 28. J'ignorais s'il se préoccupait encore de ça, mais dans tous les cas, il ne le faisait pas montrer.
Quelques heures après être rentrée à la maison, les sirènes d'alarme de la ville ont retenti. Des sirènes que je n'avais entendu qu'une seule fois en vingt-et-un ans d'existence. La première fois où je les ai entendu, c'était lorsque des rebelles ont tenté un Coup d'Etat. Ils ont été éxecutés publiquement. Comme le stipule de règlement du Leys, nous devions nous hâter de sortir de chez nous, nous poster devant nos portes et attendre les forces de l'ordre. Le chef du Leys, Lodrick Martin, nous racontait bon nombre de mensonges chaque jour. Comme quoi tout ce qu'il faisait était pour notre liberté, pour notre sécurité. Mais je n'étais pas dupe. Je savais que je vivais dans un monde où seul lui avait le pouvoir, et où les habitants – nous – n'étions que des pions sur son jeu d'échec. Nous étions sacrifiables. Les bras croisés et la tête haute, je regardais les enfants de la famille vivant dans la maison en face de la notre. La fille devait avoir cinq ans de moins que moi, par là, et elle pleurait. Elle avait raison d'avoir peur. Peut-être que là, nous allions nous apprendre qu'on allait tous se faire tuer ? Que notre "mort" à tous était obligatoire pour la survie de notre espèce ? Mais non, il n'en était rien de tout cela. On nous avait annoncé qu'un groupe de révolutionnaires avait pris les armes pour contrer notre société actuelle. Ils avaient du courage, mais ils étaient fous. Nous ne pouvions rien faire contre eux, ils étaient plusieurs milliers et ces groupes ne devaient même pas atteindre les 500 membres. Mais j'imagine que j'étais aussi folle qu'eux puisque j'ai tourné les talons et fui ma maison.

Quelques jours plus tard, je m'étais retrouvée en compagnie de trois autres personnes qui, comme moi, avaient eu l'audace de se retourner contre le Leys. Un homme d'âge mur – il devait avoir quarante ans, par là – dont j'ai oublié le nom, une adolescente aux cheveux courts et un homme d'à peu près mon âge. Je n'avais même pas pris la peine de leur demander leur nom. Si j'avais su ce qui se serait passé ensuite, j'aurai demandé à savoir leur passé aussi, histoire d'avoir quelqu'un qui puisse garder un souvenir d'eux. Je savais depuis le début de joindre les Rebelles était une mauvaise idée. Une mauvaise idée, mais une bonne cause. Il fallait que quelqu'un change le monde. Ce n'était pas nous qui allions le faire, mais sûrement la génération future. Nous n'étions que le début.

___________________________________________________________________________________________

Les choses ont vite bougés ensuite. Adieu ma vie monotone, je saluais ma vie de soldat. Peut-être que les messages étaient vrais après tout. Peut-être que j'allais mourir ici, en plein combat. Je n'avais pas encore 22 ans, mais c'était dans quelques mois à peine. Je me retrouvai à me battre aux côtés d'hommes et de femmes, mais nous n'étions pas beaucoup, et nous nous faisions écraser facilement. Il n'y avait pas beaucoup de femmes, j'avais remarqué. Nous n'étions même pas une vingtaine parmi les centaines de membres que constituaient les Rebelles – les chiffres ont grossi depuis – mais il n'empêche que nous nous entendions relativement bien. La doyenne des Rebelles n'avait que 43 ans. Elle avait coupé ses cheveux en rejoignant la faction. Elle était très gentille et à l'écoute de tout le monde. En fait, j'avais perdu foi en l'humanité alors même que je vivais en tant que citoyenne – victime ? - normale. Je pensais que chaque personne ne pensait qu'à elle seule, mais j'avais tort. Les Rebelles m'ont redonné la foi. Nous sommes solidaires, unis, nous nous battons pour nous défendre.
Je n'ai plus revu ma famille depuis le jour où j'ai trahi notre société. Que doivent-ils penser de moi ? S'ils me voyaient, me dénonceront-ils ou m'accueilleront-ils ? Ou même... se joindront-ils à nous ? Des fois, il m'arrive de penser à mon frère. Il a 29 ans depuis quelques semaines. Quand explosera la bombe qui était censée mettre fin à ses jours ? J'avais tout laissé derrière moi en venant ici. Ma famille, mes amis – pour peu que j'en avais – mes passions... Tout ça pour mettre fin au règne d'un seul homme. C'était ironique quand même cette situation. Nous nous battions contre celui qui nous a donné un foyer. Même si je m'étais fait un tas d'amis parmi les Rebelles, nous n'avions jamais abordé notre raison pourquoi nous nous battions. Est-ce que ces gens avaient vu la même chose que moi en regardant Martin ? Son côté calculateur, froid, manipulateur ? Avaient-ils compris sur quoi reposait le Leys ? J'espère bien que oui. Deux des trois personnes que j'avais rencontrées lors de ma fuite sont décédées. L'adulte qui était avec nous s'est suicidé et l'adolescente au regard froid avait été éxécutée en public, comme les autres avant elle qui s'étaient faits attraper. Le gars de mon âge s'était fait prendre, mais avait réussi à s'échapper, bien que ça lui ai coûté son bras droit. Heureusement qu'il était gaucher. Mais bon, à cause de ça, il ne se rendait plus sur le terrain, il restait à l'arrière pour tout ce qui était stratégies et tout le reste. Je m'entendais bien avec lui. C'était d'ailleurs à lui que j'avais avoué pour la première fois les raisons de ma présence dans les troupes rebelles. Il avait acquiescé sans prononcer un seul mot puis il m'a dit les mêmes mots que mon frère m'aurait dit : "Tu as bien fait". Liam me faisait penser à Jay par bien des manières. Il m'a ensuite expliqué pourquoi il était là: son frère aîné faisait parti des révolutionnaires qui ont tenté le Coup d'Etat. Il a toujours attendu qu'un mouvement de résistance se lève pour venger la mort de son frère, la dernière famille qui lui restait. Il n'a jamais précisé comment il a perdu ses parents.

Je m'étais assise sur une racine plantée sur la boue.
- Qu'est-ce ta prédiction te disait ?, osais-je demander pour la première fois que l'on se connaissait.
Liam s'était mis à rire, manquant de faire tomber la talkie-walkie qu'il tenait dans sa main droite. Sa barbe naissante lui rendait un poil séduisant. D'une manière générale, Liam était séduisant, de toute façon. Je me demande s'il avait une petite-amie, ou quelqu'un qu'il aimait. J'en doute. En temps de guerre, on ne peut pas penser à ce genre de choses, c'est... débile. J'en ai lu des romans parlant d'unités rebelles où étrangement les deux héros tombaient amoureux l'un de l'autre et où ils finissaient heureux ensemble à la fin. Je n'y ai jamais cru à ce genre d'histoire. Pendant une bataille, on ne va pas penser à l'amour ou les trucs aussi puérils que ça! On doit penser à notre survie, tout simplement.
- Je l'aurai su l'année prochaine, me répondait-il.
Oh. Il ne fait pas ses vingt ans en tout cas.

___________________________________________________________________________________________

Les jours passaient, et je m'étais vraiment attachée à Liam. Il devenait un véritable ami, un frère, quelqu'un en qui j'avais une totale confiance. Entre les batailles, on rigolait, on blaguait – il fallait remonter le moral des troupes – on se racontait des petites anecdotes... C'était vraiment des moments que j'appréciais. J'avais l'impression d'être plus proche de lui que je ne l'étais avec ma propre famille, et pourtant je l'aimais énormément. Mais c'était différent avec Liam. Je n'avais pas peur de me confier. Peut-être parce que nous partagions les mêmes idéaux ? Parce que nous nous battions pour la même cause ? Ce gars avait tout perdu: sa famille, ses espoirs... et même son bras. Et pourtant, il continuait de sourire. À sa place, ça aurait fait longtemps que j'aurai abandonné. Je me serais sûrement rendu dans le bureau des Démocrates, là où les gens qui veulent en finir se rendent avant d'être tués par les bourreaux. Enfin, ç'aurait été ce que j'aurais fait quelques mois auparavant. Maintenant, j'étais décidée, plus que jamais, à vouloir en finir avec cette situation. Qu'on soit en guerre ou en paix, cela ne changeait rien, on savait tous que nous n'allions rien changer, mais se battre était devenu pour nous un moyen de nous exprimer, de faire comprendre aux gens – et notamment à Martin – que les choses devaient changer. Mais évidemment, en bon tyran qu'il est, Martin nous fait passer pour des traîtres – bon, sur ça, il a plutôt raison – et offre à quiconque leur livre un Rebelle un grosse somme d'argent. Certaines personnes l'ont fait d'ailleurs.

___________________________________________________________________________________________

Sept mois sont passés depuis. Les Rebelles ont perdu énormément de membres, à un moment, j'ai bien cru que c'était la fin. La doyenne avait été tuée et un ami de Liam y est passé aussi. Je voyais qu'on perdait beaucoup de gens alors j'ai commencé à me poser des questions. Que pensait-t-on lorsque nous mourrons ? Avions-nous peur ? Ou était-ce tellement rapide que nous n'avions pas le temps de ressentir quoi que ce soit ? La bonne nouvelle, c'est qu'on commençait à parler de nous. Les gens ont compris que quelque chose ne tournait pas rond et beaucoup de gens ont rejoint les Rebelles. Nous savions que parmi ces gens, des espions travaillant pour le compte de Martin s'étaient infiltrés, mais certains d'entre eux finissaient par se rallier à notre cause. Certaines personnes avaient été jusqu'à dire que nous étions des héros qui viendront éradiquer le mal. Mais qui sommes-nous pour dire qu'intel est un héros et qu'un autre est méchant ? C'est ce que les romans ne disaient pas: il n'y a ni bien, ni mal. Car les gens pensant agir pour le bien agissent pour le mal aux yeux de ceux qui ont des idéologies différentes des leurs. Surtout que les deux camps ont leur victimes. Même si les gens nous considéraient comme des héros, nous aussi nous avons tués des gens, décimés des familles, fait crier des enfants. Nous ne sommes pas des héros. Nous n'agissons ni pour le bien, ni pour le mal. On agit pour une cause qui nous semble juste.

Arme automatique à la main, j'étais élancée. Les soldats de Martin avait commencé à rappliquer et la bataille était rude. J'avais entendu que les hostilités ont débutés dans le Leys même. Des bombes ont été déployées d'ailleurs. Peut-être que mon frère en avait été une victime. Si c'est le cas, alors je pourrai très bien mourir dans cette énième bataille. Je n'espère pas, j'espérais pouvoir vivre assez longtemps pour assister à la chute de Martin. J'appuyais sur la détente devant les quelques soldats en face de moi et apercevais un homme couché sur le sol. C'était Isaac, le fils de Lodrick. Que faisait-il ici ? Etait-ce un espion ? Non. Il avait été touché. Il n'en avait plus pour très longtemps. Il paniquait, bougeait dans tous les sens, sa main appuyée contre son torse, là où la balle l'avait transpercé. Il transpirait. Il savait qu'il n'allait pas s'en tirer, mais il me tendait la main, me suppliant de l'aider. Mais il n'y avait rien que je pouvais faire, hormis abréger ses souffrances. Je levais mon arme vers lui et l'achevais. Ca ne servait à rien de dire qu'une personne allait s'en sortir lorsqu'on savait qu'il n'y avait aucune chance. Ca ne servait à rien de mentir, hormis faire souffrir la personne encore plus longtemps. Après toutes ces batailles, je l'avais bien compris. Les sacrifices étaient nécessaires et sur ça, j'étais d'accord avec Lodrick Martin.
- Sam, derrière toi!, une voix s'écriait dans mon dos.
Aussitôt retournée, j'apercevais le corps de Taylor, une jeune femme engagée depuis peu, tomber sous mes yeux. Tout cela s'était passé tellement vite que je n'ai même pas eu le temps de réagir, de lever mes bras pour soutenir le corps de ma camarade. Sam. Sam. Sam. Ca faisait tellement longtemps que j'avais abandonné mon vrai nom, j'étais beaucoup plus habituée à mon surnom maintenant. Samara me liait à mon passé, et je ne voulais pas. Je regardais une dernière fois le corps de Taylor, puis abattait le soldat qui avait tenté de me tuer. Mais je n'avais pas fait attention à l'autre soldat derrière moi. J'ai senti une vive douleur dans ma hanche. Puis une autre au niveau de mon estomac. Rapidement, mes jambes ne pouvaient plus me tenir. Je constatais deux cercles rouges sur ma veste. Ah, j'avais été touchée. J'imagine que j'aurai dû croire en ces prédilections. Comme quoi ils savaient quand est-ce que nous allions mourir. Car j'allais mourir, à 22 ans, au combat. Ils avaient raison. Allais-je être considérée comme une héroïne ? Non. Je n'allais pas me bercer d'illusions, je n'étais qu'une femme comme tant d'autres, se battant pour la liberté de son pays. C'était dommage que je ne pouvais pas assister à la chute de Martin, j'aurai bien voulu voir sa tête lorsqu'il aurait été attrapé. Et Liam ? Comment réagira-t-il lorsqu'il verra que j'ai suivi les pas des deux autres que nous avions rencontrés lors de notre fuite ? Me pardonnera-t-il ?

Les livres d'Histoire ne se souviendront jamais de mon nom. Ils se souviendront seulement que j'étais l'un des 10 000 soldats s'étant battus pour la liberté du Leys. Mais ça me suffisait.
Tags : Fiction, OS
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#Posté le samedi 22 mars 2014 18:03

Modifié le dimanche 24 septembre 2017 09:18

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